La maladie d’Alzheimer est un véritable fléau : de plus en plus de malades sont diagnostiqués chaque année, et de plus en plus de personnes – même jeunes – développent une anxiété à l’idée de présenter des symptômes de perte de mémoire et de repères.
Alors, pour commencer : perdre ses clefs, oublier un rendez-vous, ou encore ne plus se souvenir d’un itinéraire n’est pas symptomatique d’Alzheimer. A condition, du moins que cela reste ponctuel. Les pertes de mémoire occasionnelles tiennent plus du stress et de nos vies débordées, que d’une dégénération cérébrale.
Jean-Pierre Willem, éminent médecin humanitaire, a mis en évidence que, lors du premier stade de la maladie (presque exempt de signe clinique), une perte d’odorat progressive était rapportée. Cette anosmie peut devenir totale au fil du temps – éradiquant tout simplement la mémoire olfactive de l’individu. C’est alors qu’il a choisi de tenter de limiter cette perte de mémoire olfactive, voire même de la restaurer à l’aide d’huiles essentielles.
La Chine et le Japon ont envoyé des médecins se former auprès de lui, et lui font confiance depuis plus de deux ans en suivant ses protocoles de restauration de l’odorat avec de bons résultats sur l'évolution de l'état de leurs malades. Trois EPHAD français ont également décidé de tenter l’expérience : effectivement, il n’y a aucun risque à suivre les protocoles du Dr Willem puisqu’il ne s’agit pas de molécules chimiques.
En effet, Alzheimer étant une maladie iatrogène (c’est-à-dire que l’ingestion de molécules chimiques est en cause dans le processus d’apparition et d’aggravation de la maladie), la prise de nombreux médicaments doit se faire de manière mesurée, et contrôlée rigoureusement par des médecins. Or, les préconisations du Dr Willem sont uniquement naturelles, parmi lesquelles :
- Une restructuration totale de l’alimentation. La maladie d’Alzheimer est même appelée « diabète de type 3 », c’est dire l’importance de ce que nous mettons dans nos assiettes pour notre cerveau !
- Augmentation des parts d’aliments crus pour stimuler le cerveau limbique (mémoire et émotions), si possible jusqu’à 60% de la ration alimentaire
- Utilisation des huiles essentielles pour stimuler la mémoire, et notamment celle du romarin à cinéole en inhalation
- Régulation des neurotransmetteurs acetylcholine (à la hausse) et glutamine (à la baisse), impliqués dans les processus de mémoire, et de l’apprentissage.
- Gestion du syndrome dépressif sous-jacent en phytothérapie, avec par exemple le griffonia qui permet de doper la production de sérotonine (hormone du bonheur), déficitaire chez les malades d’Alzheimer.
- Apport de bromélaïne et de papaïne par l’alimentation ou la complémentation, qui sont des enzymes éliminant les mauvaises protéines, et notamment la protéine tau impliquée dans la neurodégénérescence.
Ces conseils ne se basent que sur des données scientifiques, et doivent être personnalisés au cours d’une consultation avec un naturopathe. Ils peuvent être utilisés en prévention et en accompagnement des traitements allopathiques de la Maladie d’Alzheimer. D’autres thérapies complémentaires ont également fait leurs preuves, comme la kinésithérapie, l’acupuncture ou encore la sophrologie.

Pour prendre rdv : https://www.medoucine.com/consultation/bressuire/jessica-pauchet/14123
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