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Et si la nutrition devenait fondamentale en psychologie et en psychiatrie ?

Photo du rédacteur: Jessica PauchetJessica Pauchet

Tout le monde, ou presque, sera touché au moins une fois dans sa vie par un problème de santé mentale (problème de sommeil, état dépressif, troubles de l’humeur, de la concentration, fatigue mentale persistante….), comment l’expliquer ? Et comment s’en protéger ?


La question véritable est : que cherche à nous dire notre corps, et notre cerveau ?

Nos cerveaux « modernes » fonctionnent avec un carburant plutôt instable : le sucre. Le sucre (sous toutes ses formes, c’est-à-dire le sucre, le lactose, le fructose…, et toutes les céréales) dérègle également notre fonctionnement métabolique, et malmène notre intestin. Or, cerveau et intestin sont meilleurs amis, et communiquent via le maintenant-très-célèbre nerf vague. Et, un scoop : sur 10 messages entre le cerveau et l’intestin, 9 sont envoyés par l’intestin au cerveau…


La nutrition est donc centrale… On parle, en santé mentale, de psychonutrition, ou de psychologie / psychiatrie métabolique.


La science révèle que le cerveau fonctionnerait de manière plus stable avec les corps cétoniques (issus du gras et des protéines animales), ce qui améliorerait l’humeur et la clarté mentale. Alors, en limitant les glucides, nous pourrions déjà nous protéger des états dépressifs, anxieux, de l’irritabilité, de la tristesse saisonnière. Nous pourrions également renforcer nos capacités cognitives et réflexives.


Et en supprimant les Haribos et les BN des poches de nos bambins, et en limitant les pâtes et des pommes-de-terre au dîner, nous pourrions également les aider à être plus attentifs et plus concentrés en classe, favoriser leurs apprentissages et leur mémorisation… Et les rendre plus efficaces dans la réflexion.


Mais alors, par quoi remplacer le sucre, et les céréales ?


Des études montrent qu’une consommation augmentée de viandes et de gras (d’origine animale- exit les huiles végétales) prévient des maladies mentales relevant de la psychologie, et de la psychiatrie… mais également de maladies neurologiques dégénératives que sont Alzeihmer, Parkinson ou tout autre forme de démence.


Les troubles psychologiques ou psychiatriques se trouvent améliorés lorsque, en conjonction des traitements médicamenteux prescrits, un rééquilibrage alimentaire est proposé.

Quant aux maladies neurologiques résistantes (telles l’épilepsie), elles sont DEJA traitées depuis le début du 20ème siècle par une suppression stricte de toute forme de glucide, et le remplacement par des graisses d’origine animale, ce qui permet d’améliorer considérablement l’état de santé des malades. On a donc plus d’un siècle de recul sur la psychonutrition !





Pour tout rééquilibrage alimentaire en vue de prendre soin de votre santé mentale https://www.medoucine.com/consultation/bressuire/jessica-pauchet/14123

INFO : Je suis également secouriste en santé mentale, brevetée par Santé Mentale France.

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