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Octobre rose : le dépistage, c’est bien. La prévention c’est mieux. Et elle commence maintenant.

Photo du rédacteur: Jessica PauchetJessica Pauchet

Le cancer est vu comme une malédiction, soit génétique (et oui, le père, le grand-père, la tante a eu un cancer !), soit fataliste (l’hygiène de vie plus ou moins « bonne » que l’on a eue), voire même religieuse (parce qu’on a pas été gentil, honnête ou toute autre croyance). Bref, c’est une vision un peu mystique et bien compliquée…


Le cancer, c’est plus simple que ça. Et tout le monde devrait connaître la genèse de ce crabe qui fait trembler… et qui atteint les personnes de plus en plus, et de plus en plus jeunes.


La cellule cancéreuse est une cellule particulière : pour survivre, et surtout grandir, elle ne consomme qu’une seule molécule : le glucose. A la différence des cellules saines de notre corps, la cellule cancéreuse a besoin de sucre pour subsister. On ne vous l’a jamais dit ? Pourtant, on le sait depuis plus d’un siècle (mécanisme du glucose dans la cellule cancéreuse : prix Nobel d’Otto Warburg au début du 20ème siècle)… Mais la nutrition ne rapporte pas d’argent aux laboratoires, alors on n’en parle pas !


Alors, la cellule cancéreuse, pour se nourrir va créer de manière spontanée des vaisseaux sanguins juste pour elle. Le sang lui amène ainsi son glucose ! Et c’est la belle vie : nourrie à foison, elle se développe de manière florissante. Et au bout de quelques mois, ou de quelques années, un cancer se déclare.


Eh oui, entre la naissance du cancer et le dépistage, il se passe du temps. Des semaines, des mois, des années pendant lesquels votre corps vous réclame du sucre (ces fameuses envies de confiture, de bonbons, de pâtisseries…). Et si vous résistez et que vous ne lui en donnez pas assez, qu’à cela ne tienne, la cellule cancéreuse va dépouiller vos cellules saines de leur glucose. S’en suivent perte de muscles, baisse d’énergie, fatigue persistante…


Pour éviter qu’un cancer n’apparaisse, il faut donc priver les cellules dysfonctionnelles de glucose, et les empêcher de constituer leur membrane. Des compléments alimentaires, par exemple, à base d’acide lipoïque ou d’hydroxycitrate les ralentiront dans leur progression. Il faudra également booster le fonctionnement mitochondrial des cellules encore saines pour éviter qu’elles ne mutent (le bleu de méthylène donne de bons résultats)


Mais avant de faire du dépistage, et du bricolage, il serait bien de faire de la prévention. Et vous l’avez deviné, l’alimentation est centrale. Et, petit bonus : les recherches scientifiques récentes montrent que les anomalies biochimiques impliquées dans les processus cancéreux sont similaires dans la maladie d’Alzeihmer…


Pour faire un bilan sur votre structure alimentaire, et l’optimiser, prenez rdv : https://www.medoucine.com/consultation/bressuire/jessica-pauchet/14123



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